à 140m de profondeur, le brick "cryptonyme", déb. XIXè siècle ( I )
>>>"home"...)
(cryptonyme = au nom caché)
déclaré "antérieur à 1830" par deux spéciaistes, MM P. Bloesch et P. Duchoud
1) vu de dessus
(remarquer le grappin en haut à droite, il est debout).
restent un mât et une antenne (sur deux qu'il y avait un instant avant le naufrage)
les chaînes ont littéralement glissé. mais elles ont été retenues et elles indiquent donc la plus forte pente à l'instant du naufrage
|
2) représentation locale,
légèrement enfonçé sur tribord arrière
une chaîne se distingue dans la boue, allant du grappin, (debout) vers le brick.
(voir la raison de cela : la raison)
|
représentation locale,
incliné sur tribord
manquent le mât d'avant et son antenne.
Ceux qui restent ont été retenus par des cordages et des voiles qui ont disparu depuis.
|
(voir encore "la suite"...), photos au fond
-le brick (ou brigantin) servait au transport de marchandises, (on dit souvent, à tort, "barque, ancienne barque")
(il est plus petit que la barque, p. ex "La Neptune"). Pour voir la différence : cliquer sur > 13.01.23
-son gréement (mâts, antennes, voiles) est : voiles latines.
Il s'agit d'une voile triangulaire, appelée à l'origine "alla trina", c'est à dire à trois pointes, par opposition aux voiles antiques, carrées.
Puis on l'appela "la tina" (dit dans le film LA DERNIÈRE BARQUE, de François Bernadi).
La voile latine est une voile d'origine méditerranéenne, utilisée partout, en
Méditerranée et même ailleurs dans le monde.
Elle autorise toutes les allures possibles de navigation à la voile.
Elle dérive de la voile arabe. (source : www.cristobal-colon.net)